La Chine
La Chine et moi, c’était le coup de foudre. Réciproque, je n’en suis pas certaine… Peut-être qu’elle restera un amour à sens unique. Les Chinois et moi, c’est souvent très épicé, très exalté. On est curieux, mais d’une curiosité positive et motivante, d’une envie d’apprendre (vite!), de connaître, de découvrir des choses étranges, d’en rire ensemble et de s’en extasier.
Les Chinois m’ont toujours accueillie comme si j’avais été un membre de leur famille. Ils m’ont toujours acceptée et chérie. Ils ont une place très spéciale dans mon coeur. Un jour, je traverserai la Chine.J’ai passé de délicieuses journées à Hangzhou, où la communication était quasiment impossible. Le challenge pour se déplacer était quotidien et je n’avais pas la moindre idée de ce que je mangeais, mais cela m’importait peu: les balades en vélo autour du lac, à me faufiler parmi les touristes chinois et coréens, m’ont laissé une impression complètement surréaliste, magique.
J’ai ensuite visité Shanghai, ses fourmillantes rues commerçantes, le quartier des artistes Tianzifang, les clubs jazzy des quartiers français, et parfois des coins un peu snob. J’ai aussi assisté à un spectacle du Cirque de Shanghai qui m’a laissée sans voix: quels acrobates!
J’ai terminé ma course dans la très chinoise Suzhou, après un voyage en train des plus locaux, à me faire cuire des nouilles à l’eau chaude entre les wagons et tenter de communiquer (succès!) avec ceux qui le voulaient bien. On s’est échangé les places assises à tour de rôle, le slurpeur de nouilles ayant toujours la priorité.
Les Chinois m’ont toujours accueillie comme si j’avais été un membre de leur famille. Ils m’ont toujours acceptée et chérie. Ils ont une place très spéciale dans mon coeur. Un jour, je traverserai la Chine.J’ai passé de délicieuses journées à Hangzhou, où la communication était quasiment impossible. Le challenge pour se déplacer était quotidien et je n’avais pas la moindre idée de ce que je mangeais, mais cela m’importait peu: les balades en vélo autour du lac, à me faufiler parmi les touristes chinois et coréens, m’ont laissé une impression complètement surréaliste, magique.
J’ai ensuite visité Shanghai, ses fourmillantes rues commerçantes, le quartier des artistes Tianzifang, les clubs jazzy des quartiers français, et parfois des coins un peu snob. J’ai aussi assisté à un spectacle du Cirque de Shanghai qui m’a laissée sans voix: quels acrobates!
J’ai terminé ma course dans la très chinoise Suzhou, après un voyage en train des plus locaux, à me faire cuire des nouilles à l’eau chaude entre les wagons et tenter de communiquer (succès!) avec ceux qui le voulaient bien. On s’est échangé les places assises à tour de rôle, le slurpeur de nouilles ayant toujours la priorité.
Carnets de voyage de Chine
Hangzhou, les Chinois et moi: mon plus beau choc culturel (et les bizarreries que j’ai dû manger)
Drillée d'avance sur l'importance d'obtenir des menus imagés, histoire d'avoir au moins une vague idée de ce qui pourrait me ...
Lire La Suite…
Lire La Suite…
Barrière linguistique en Chine: quelques caractères chinois vous sauveront!
Je montre la carte de visite à plusieurs passants, mais ils prennent des airs effrayés, voire offusqués. Ils font un ...
Lire La Suite…
Lire La Suite…
En voiture! Prochain arrêt: Shanghai.
Entre toutes ces rues qui arborent fièrement leurs hôtels clinquants, un brin trop pailletés, il y a ce contraste des ...
Lire La Suite…
Lire La Suite…
Regards sur Suzhou
L'impressionnante pagode de Beisi Ta est entourée de jardins d'un calme apaisant, presque surréel. Il n'y a pratiquement que nous et quelques ...
Lire La Suite…
Lire La Suite…