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Je me sens comme une intruse-espionne, à farfouiller les alentours à la recherche des premières bribes de compréhension de ce pays tout nouveau.
Après deux ans de préparation et huit ans de vie nomade, j’ai repris une « vie normale »(excusez l’ironie). En plein déménagement mental, j’ai créé cette rubrique pour recommencer à écrire un peu. La forme que tout cela prendra à terme est encore inconnue (mais c’est aussi joli comme ça).
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Je me sens comme une intruse-espionne, à farfouiller les alentours à la recherche des premières bribes de compréhension de ce pays tout nouveau.
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L’insignifiant prenait une importance magistrale, il se faisait le seul lien vivant qu’il restait à travers la distance.
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Le train a été mon exutoire à de nombreuses reprises. D’autant que je me souvienne, lors de ma première échappée belle, je devais avoir 17 ans.
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Je suis partie autour du monde à la recherche d’un moi meilleur, un moi que je pourrais donner à quelqu’un comme P., quand je l’aurais trouvé.
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Je me souviens du rêve que je clamais à mes dix-huit ans: vivre dans une cabane en bois, dans la forêt canadienne. Il a si peu changé.
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C’est à ce moment là que je suis réellement arrivée. Et ce n’était pas le fruit d’un simple déplacement, c’était un état d’esprit, c’était une grandeur.
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Parfois, traverser une frontière n’est pas aussi simple que l’on ne le croit. Une histoire malaisienne.
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La mer. La mer en colère. Je me tiens un peu en retrait, adossée à une cabine. Je te regarde debout sur les rochers, légèrement au-dessus du gris de l’écume qui s’éclate à tes pieds.
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Cette magie qui me protégeait, c’était ma propre énergie, c’était mon esprit de guerrière berserker qui défonce tous les obstacles sur son chemin.
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C’est fantastique l’amour quand même, ça te rend con et heureux. Je l’imagine comme une substance vert fluo qui envahit ton cerveau.