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J’aime faire détonner une couleur, un être ou un détail dans un univers qui pourrait sembler uniforme et ainsi en transcender l’essence. Dans le Pacifique, le noir est le vert et le blanc est le bleu.
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J’aime faire détonner une couleur, un être ou un détail dans un univers qui pourrait sembler uniforme et ainsi en transcender l’essence. Dans le Pacifique, le noir est le vert et le blanc est le bleu.
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Chaque île est comme chaque homme: à la fois doux et hostile, à la fois intense et saupoudré d’ennui, dans la plénitude comme dans la détresse. Ce qui change, ce sont nos danses, ce sont nos chants, ce sont nos croyances, ce sont les moyens avec lesquels nous laissons couler le temps. Ce qui change, ce sont les senteurs et les robes de nos fleurs, ce sont les arômes de nos épices, ce sont les vents qui les poussent à nos narines. Les alizés, les bises, les siroccos, les chinooks, les pamperos, et les levants: c’est d’un même berceau qu’ils nous soulèvent, comme s’ils étaient un, comme s’ils étaient amour.
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Un va’a, une pirogue polynésienne à balancier, me dépasse à une vitesse folle. J’analyse le mouvement, je tente de le reproduire et ça se passe mieux. Je m’en vais seule, vers l’immensité de la mer. Au loin, je vois les vagues s’écraser sur la barrière de corail. Plus j’avance, plus je fatigue, plus je me dis qu’il me sera difficile de revenir. Mais il y a quelque chose qui m’appelle là-bas, au fond du lagon.
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